après mes rendez-vous de l’après-midi, petit tour à l’atelier pour fignoler les deux réveils que j’avais laissé sécher hier soir.
bonne nouvelle : il fait bien chaud dans l’atelier et ce n’est pas humide, donc ma résine ne « gondole » pas !
ouf

le premier, le petit 72 :

Il est mimi, il tient dans la main, mais je n’en suis pas complétement satisfaite : petites pétouilles sur le cadre, et surtout une barre horizontale en bas, juste sous l’insecte, dûe à un séchage sur une surface qui paraissait plane mais ne l’était pas réelement
voilà qui m’apprendra à ramener ma « casserole magique » à l’atelier (allez, j’y vais de mon petit secret de cuisine : pour les bébés-réveils, je coule directement la résine sans cadre en dessous – car souvent les petits réveils ont des cadres en plastocs mochous. après bien des essais, j’ai fini par taxer une vieille casserole dans la cuisine. en la retournant, j’ai une surface bien plane et son petit diamètre me permet d’étanchéifier le réveil et le papier d’alu nécessaire à la coulée sans trop me galérer)

le n°73 me plaît plus, il suffisait de reprendre la main 😉

le réveil vient d’anne-claire, qui me l’a ramené de yougoslavie ! le papillon vient d’une boîte à insectes trouvée il y a deux ans en brocante. assez mal conservé, il avait déjà perdu ses couleurs, donc il semblait idéal pour une transparence (pour les intéressés : quand on enferme un papillon entre deux couches de résine, il perd ses couleurs et certaines zones deviennent translucide.)
Hier je me suis amusée à lui recréer un sorte de squelette en rouage et ressorts, dans une troisième couche de résine. quand on le bouge dans la lumière, les rouages se mettent à briller selon l’inclinaison qu’on lui donne.

détail :

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