7 h ce matin : le bilip-bilip du réveil me tire du sommeil.

8 h 30 : mon amoureux me laisse encore toute endormie à la gare de caen, chargée comme un baudet et frissonnante sous ma petite veste mi-saison…

9 h 18 : je monte dans le train et je m’endors illico jusqu’à paris

12 h : correspondance hyper serrée à paris = obligée de manger dans le train
carton pâte au goût salé pour le sandwich, sucré pour le dessert.

13 h : je m’ennuie….

14 h : c’est long…. je vais bouquiner

15 h : tiens, je me suis assoupie au milieu d’une phrase

15 h 30 : toulon, toulon, 3 minutes d’arrêt

16 h 46 : arrivée à cannes !!!!

ENFIN !!!! j’ai cru que j’allais resté dans ce train jusqu’à la fin des temps !!!!
après tout s’enchaîne vite, très vite.
Ben vient me chercher à la gare, je découvre l’espace Mimont, Ben me montre ma chambre et me présente plein de gens dont je ne retiens pas le nom.

voilà… il est 19 h 30, les réveils dorment sagement dans une vitrine (on l’a recouverte avec un grand tissu vert, comme quand on veut faire taire des oiseaux… c’est marrant), il nous reste encore deux ou trois petits trucs à faire ce soir, et demain… ce sera le grand jour.

je ne stresse plus maintenant, c’est trop tard. on verra bien demain 😉

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