état d’atelier et autres bouineries

Ma copine virginie m’a demandé quelques détails sur les cadres noirs des tirages de Zircus.

quelques explications :
les cadres sont composés de 4 tubes en alu noir, qui se montent sur des petits coins pourvu d’une pince montée sur ressort, qui permet de maintenir la toile tendue :)

c’est super léger, et à priori facilement montable et démontable 😉

pour jérôme, qui me demandait dans un commentaire de voir l’état de la maison… hem… voilà l’état de l’atelier :

je sais, ça fait peur… moi-même j’ai du mal à m’y retrouver !

Du coup hier soir je me suis mise à emballer les premières bâches.
Avant il a fallu toutes les numéroter et les signer au dos :

petit exercice plutôt zen à la fin d’une semaine bien chargée 😉

J’ai encore énormément de boulot, mais en m’organisant bien, je devrais être dans les temps :)

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Premiers articles reçus !

une petite bouffée de bonheur à la fin d’une longue journée : je viens de recevoir deux articles de Colette, une de mes rédactrices :) :) :)

J’ai été emballée par ce qu’elle a inventé à partir du mince canevas que je lui ai donné !
je ne résiste pas à vous donner lecture du plus savoureux des deux articles :

« Ouest-France

Le vendredi 18 Mars 1938

Du nouveau dans la disparition de Martial Salmonelle, le jeune commis de la boucherie Deveaux, passage de l’Aiguillette.
La semaine dernière, notre ville s’est émue de l’étrange disparition de Martial, 17 ans, qui, après sa tournée matinale pour livrer les commandes aux clients habituels n’a pas regagné son lieu de travail. Son oncle et sa tante, monsieur et madame Paleron qui l’hébergent actuellement, ainsi que Henri Deveaux, le patron boucher, s’en sont étonnés et ont entrepris aussitôt des recherches, relayés le soir même par la gendarmerie, sans résultat toutefois.
Hier soir, fait nouveau, sa bicyclette a été retrouvée dans la Venelle des champs, couchée dans l’herbe du talus, derrière la petite gare.
Monsieur Henri Deveaux, son patron, décrit Martial Salmonelle comme un gentil garçon, effacé, travailleur, particulièrement attentif à l’ordre et la propreté : « Il n’y avait rien à redire, tout était à sa place, quartiers de viande aux crochets, couteaux soigneusement astiqués et aiguisés…c’était impeccable, oui, on peut le dire, je n’y comprends rien ! »
On ne lui connaissait pas d’ami proche au pays.
L’enquête continue dans la discrétion. Nous en suivrons attentivement l’évolution.

De Saint Germain de Tailleviande La Langue Veaumont
Maurice Tranchelard
« 

j’ai hâte de mettre ça en page :)

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youpi !!! j’ai mes tirages !!!!

je viens d’aller les récupérer ! ils sont trop beaux !
surtout les grands formats (j’aime le grands format, y’a rien à faire !)

deux photos prises à l’arrache dans le salon :

les autres ne sont pas encadrés (cadre en kit >> spécialement conçu pour pouvoir être monter/démonter, super léger et facile à transporter !)
du coup, comme il y en a 15, c’est le bordel chez moi ! mais je suis super heureuse, j’ai l’impression d’avancer !

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première séance d’emballage

Même s’il reste un boulot monstre, j’ai eu envie de me rassurer cet après-midi en commençant à emballer ce qui était prêt : la série du roman-photo de Mercedes et Hidalgo !

un peu d’organisation !
d’abord nommer et numéroter les tirages, vu que je ne serais pas présente à tous les accrochages :

Vu que les tirages vont voyager et être ré-emballer à chaque fois, je fais des petites pochettes en papier bulle :

et hop :

zou, dans un carton aux bonnes dimensions :

dès qu’il sera plein je ferai un premier envoi à Pertuis, lieu de départ de la tournée.

bon, je suis un peu rassurée.
je peux me remettre à bosser maintenant !

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atelier en vrac et premières missions à mes rédacteurs

vendredi et samedi, j’ai avancé sur les bidouilles dans l’atelier.

déjà, j’ai trouvé la gaffeur noir ultime (merci brico-marché), noir, très large, assez fin et bien collant, ce qui m’a permis de mettre la dernière touche à ma boîte à papillon.

Ne reste plus qu’à faire une jolie petite étiquette explicative, et zou, je pourrais l’emballer 😉

Je me suis penchée ensuite sur la série « le roman photo de Mercedes et Hidalgo », petite scène de ménage en 10 images au format 18×24 cm.
J’ai d’abord contre-colle les images sur un grand carton-plume noir :

ensuite, avec un bon cutter, sans se presser pour ne pas faire n’importe quoi, j’ai découpé mes cartons sans laisser de débords

Toujours chez brico-marché, j’ai trouvé le matériau idéal pour faire les cales derrière mes cartons-plumes : une grande planche de polystyrène dense de 2 cm d’épaisseur.

un petit carré collé au double-face derrière chaque tirage me permattr de les décoller légèrement des murs :

Aujourd’hui, avant de me remettre au découpage/collage, j’ai lancé une première salve de thèmes d’articles à mes rédacteurs.
Je vous explique : j’ai trouvé 4 bonnes plumes parmi mes amis et connaissances, et leur ai demandé s’ils accepteraient de jouer le jeu d’écrire quelques vrais-faux articles de journaux pour les archives de l’expo. Bingo, aucun n’a dit non :)
je leur ai soumis des thèmes comme : »dans le journal de Carpentras, un avis de recherche concernant Théodore Sconse, négociant en spiritueux, mystérieusement disparu de son domicile depuis quelques jours. »

j’espère que j’aurais des retours dans le courant de la semaine prochaine. j’ai hâte 😉

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