bouine, bouine…

ça continue à bouiner sec à l’atelier :
les moules en silicone pour les bijoux avancent doucement (c’est long à sécher, le silicone, grrrr)

dans le « coin réveil », ça avance aussi :

d’ailleurs je ne saurais tarder à vous présenter le n°87…

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état d’atelier

youpi ! j’ai un iphone ! tout le monde s’en fout, certes, mais ça m’a permis de prendre des photos dans l’atelier cet après-midi :)
impossible de trimballer le gros canon avec moi toute la journée, donc un nouvel univers s’offre à moi avec cette petite merveille qui fait des photos montrables (surtout au regard des photos sombres et mincuscules de mon ancien sagem, une antiquité !).

aujourd’hui j’ai commencé à préparer des moules en silicone pour faire des bijoux :

et bricoler des réveils :

Rien de très fracassant, mais c’était un bonheur de passer quelques heures dans mon petit bordel :)

Demain, direction Paris pour une journée marathon : visite à un fournisseur, expo de Maïssa Toulet (c’est une copine qui m’a fait découvrir cette artiste il y a deux jours ! chance, elle expose dans le 12ème jusqu’au 6 mars) et formation de ma copine Paola au backoffice du site que j’ai réalisé pour elle il y a maintenant presqu’un an 😉

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trucs de filles :)

Tout a commencé par ma copine Véro qui m’a demandé de l’aider à réparer une boucle d’oreille : cassée en trois morceaux, un éclat de verre bleu s’était perdu et il fallait colmater le trou.
Véro est arrivée à l’atelier avec de la résine à bijou. J’ai l’habitude de travailler avec de la résine polyester pour les réveils. Le principe est le même pour la résine à bijoux, à celà près que le temps de séchage est plus long et que la résine, une fois sèche, ne craint pas les traces de doigts 😉

Pour me remercier de mon aide, Véro m’a laissé la résine en repartant… alors forcément, curieuse comme je suis, j’ai fait quelques essais d’inclusion.
Au début c’était beurk, mais j’ai réussi à sortir de l’atelier deux prototypes de broches dont je suis assez contente :

je vais en relancer une série cet après-midi.
et si ça plaît, j’en mettrai quelques une sur la boutique 😉

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Petites bouineries

Cet après-midi, je me suis fait une petite place dans mon planning pour aller bosser à l’atelier.
ça fait du bien :)
c’est le premier après-m’ où on était deux à travailler dans l’atelier en même temps : vincent continuais à monter son plan de travail pendant que je bossais dans mon coin. c’est cool d’avoir quelqu’un avec qui faire une pause-clope, le reste de temps étant entrecoupé de « merde », « bordel », « pute borgne », « vas-tu coller bidule de merde » (vocables à répartir indifféremment entre vincent et moi, occupés chacun de notre côté)

J’étais principalement là pour tester le transcryl, produit vieux comme le monde (paraît-il), pour les futurs mugs de la boutique de maurice sandalette.

il faut 15 à 20 minutes entre chaque couche, donc en attendant, j’ai bouiné des trucs du côté du « coin-résine » :

2 nouveaux réveils, qui devraient être secs demain ou après-demain, et surtout, ce que vous voyez, là au centre, c’est un prototype de papiciole :)

Vous vous souvenez surement des mues de cigales sur lesquelles j’avais travaillé il y a une dizaine de jours.
J’ai repris la première (celle avec une seule diode) dans l’idée de lui coller des ailes.
Certains papillons réagissent assez mal au contact de la résine : les papillons sombres, marrons, noirs, bleus. au contact de la résine ils deviennent uniformément marron-foncé-beurk. j’évite donc de les mettre dans des réveils.

Je me saisis donc d’un papillon brun et bleu et j’entame la transformation :

je fais adhérer les ailes avec une petite goutte de résine.
Une fois la résine figée, je peux redresser ma bestiole :

Dans la semi-obscurité du coin-photo, ça donne ça :

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aménagement

hier, sans se concerter, on s’est retrouvé tous les trois à l’atelier dans l’après-midi.
session bricolage et montage d’étagères.
on voit enfin se dessiner des petits îlots rangés au milieu du bordel

au programme de cet après-m’, rebelotte (je vais bien finir par vider ce bureau, non mais !)
Le plus dur restant le chargement de la voiture >> j’habite au 4ème sans ascenseur, et rien que d’imaginer les aller-retours avec les cartons, j’ai des courbatures 😉

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