en clin d’oeil à mon précédent réveil, le n° 104 contenant un gros mâle lucane, le n°105, qui pourrait représenter son sérail, avec ses trois lucanes femelles attendant sagement derrière un voile.
j’ai bien aimé travailler la mue de serpent, utiliser sa transparence comme une dentelle. je pense qu’on en retrouvera dans d’autres réveils 
Dans le n° 104, un gros mâle lucane fait son fier…
je ne m’en suis pas tout de suite rendue compte, mais le n° suivant sera son harem : 3 lucanes femelles derrière une dentelle de mue de serpent. Il sera bientôt sec, j’ai hâte de vous le montrer.
Deux petits formats que j’ai traité avec une résine crystal transparente comme de l’eau.
Deux petites curiosités qui attendaient depuis longtemps d’être transformées.
Quand c’est petit et gracieux comme ça j’ai toujours peur de faire des bêtises et de gâcher.
je ne regrette pas d’avoir attendu, c’était le bon moment, et en plus il y avait un rayon de soleil quand je les ai pris en photo
il se faisait attendre, celui qui allait entamer la deuxième centaine
le voici :
Pour celui-ci, il me faut remercier ma copine Elodie. Après avoir eu la frayeur de sa vie en découvrant un scorpion sous sa serviette de bain, elle a eu la présence d’esprit de me le ramener dans un mini-tupperware
Ce réveil n’est pas mis en vente pour le moment, je le garde pour une exposition en janvier à l’Antre-temps, l’atelier-galerie de la plasticienne rennaise Constance Villeroy.
le vernissage aura lieu le samedi 12 janvier.
Parfois on se reconnaît dans le travail de certaines personnes, on sent qu’on habite des planètes voisines, même si on n’exprime pas les choses de la même manière.
C’est le cas avec Guillaume et Elodie, de la cie Frappe-Tête.
Là où j’aime les choses figées dans un temps suspendu, l’image fixe, eux ont choisi le spectacle vivant.
Ils ont fait appel à moi pour l’affiche de leur spectacle « Filles et perdu », un très beau conte musical qui parle de filles, d’enfance, d’amour, de solitude et de folie.
